Communiqué





Bureau du député de Portneuf et
Ministre délégué à la Santé et aux Services sociaux,
à la Protection de la jeunesse et à la Prévention
M. Roger Bertrand

POUR ATTENTION IMMÉDIATE

 

Budget de dépenses 2002-2003
TENIR SES ENGAGEMENTS POUR BÂTIR L’AVENIR


Neuville, le 8 avril 2002 - « Avec le dépôt du Budget de dépenses 2002-2003, le gouvernement du Parti Québécois peut être fier et se réjouir car il a respecté ses engagements. L’équilibre budgétaire a été préservé grâce à une gestion équitable et rigoureuse des dépenses tout en respectant les choix que veut la population », a déclaré le député de Portneuf et ministre délégué à la Santé, aux Services sociaux, à la Protection de la jeunesse et à la Prévention, monsieur Roger Bertrand.

Maintien de l’équilibre budgétaire

Cette année, les dépenses de programmes seront de 43,2 milliards de dollars, soit une croissance de 2,3 %. En 1992-1993, le poids des dépenses de programmes dans l’économie était de 22,8% du produit intérieur brut. Depuis l’atteinte du déficit zéro en 1998-1999, le gouvernement du Parti Québécois a maintenu le poids des dépenses de programmes dans l’économie à 18,5% du produit intérieur brut québécois.

Les priorités du gouvernement

En 2002-2003, c’est près de 90 % de la croissance des dépenses que le gouvernement du Parti Québécois consacrera aux trois grands secteurs prioritaires : la santé et les services sociaux, l’éducation et la famille.

La santé et les services sociaux

Le secteur de la santé et des services sociaux demeure toujours une des grandes priorités du gouvernement du Parti Québécois. À lui seul ce secteur reçoit 46,1% de la croissance en 2002-2003 et compte pour 40,4% des dépenses de programmes. En cinq ans, soit depuis 1997-1998, l’enveloppe du ministère de la Santé et des Services sociaux a été portée de 12,9 milliards de dollars à 17,5 milliards de dollars. « Malgré le déséquilibre fiscal qui handicape lourdement la capacité du gouvernement du Québec de payer, nous continuons d’investir massivement dans ce secteur parce que pour nous, la santé c’est primordial », a insisté Roger Bertrand.

L’éducation

Depuis la tenue du Sommet du Québec et de la jeunesse en 2000, l’enveloppe du ministère de l’Éducation est passé de 9,8 milliards de dollars à 11,1 milliards de dollars, soit une croissance de 1,3 milliards de dollars. Pour l’année 2002-2003, le budget de l’éducation croît de plus de 500 millions de dollars par rapport à l’an dernier ou 4,8%. Cela représente 31,9% de la croissance en 2002-2003 alors que le secteur compte pour 25,6% des dépenses de programmes. « Avec cette augmentation de budget, le gouvernement respecte intégralement les engagements qu’il avait contractés lors du Sommet du Québec et de la jeunesse afin d’assumer, notamment, la croissance des coûts dans le réseau », a ajouté le député-ministre Roger Bertrand.

La famille

En ce qui a trait à la famille, le gouvernement poursuit son plan de développement des services de garde éducatifs et maintien son objectif de 200 000 places à la fin de 2005-2006. En 5 ans l’enveloppe consacré à la famille a augmenté de 41% passant de 1,3 milliards de dollars en 1997-1998 à 1,8 milliards de dollars en 2002-2003. Depuis le début de l’année financière 2001-2002, c’est 180 millions de bdollars qui ont été ajoutés dans ce secteur. De plus, le gouvernement entend poursuivre l’accélération du développement de 5 000 places en deux ans par le biais du Plan d’accélération des investissements (PAIP).

Agir pour la relance économique et de l’emploi

Il faut de plus se rappeler que le gouvernement du Parti Québécois, lors des deux derniers discours sur le budget, a annoncé d’importantes mesures pour soutenir l’économie du Québec et faire prospérer toutes les régions. Notamment par l’injection de 800 millions de dollars sur quatre ans pour la stratégie de développement économique des régions, et aussi par le plan d’accélération des investissements qui prévoit des sommes de 3 milliards de dollars réparties sur l’ensemble du territoire québécois dont 2,5 milliards de dollars à financer à même les budgets de ministères, et 500 millions de dollars en provenance des sociétés d’État. De même, il faut ajouter que le gouvernement du Parti Québécois consacrera 1,4 milliards de dollars aux travaux routiers en 2002-2003, en hausse de quelque 500 millions de dollars par rapport à l’exercice précédent.

En conclusion, monsieur Roger Bertrand a affirmé : « En respectant ses engagements, en combinant la rigueur dans la gestion et le progressisme dans ses choix économiques et sociaux, le gouvernement continue à bâtir le Québec d’aujourd’hui et de demain. »

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Sources :

Guylaine Charest,
Responsable des communications
875-3636 / 1 800 463-8224

Information:
Marylène Tessier,
Conseillère politique
876-3636 / 1 800 463-8224