AVENIR DE L’USINE TEMBEC À SAINT-LÉONARD :
BRASSARD ET BARIL MANIFESTENT LEUR OUVERTURE

Saint-Léonard, le 21 novembre 2001 – C’est avec toute une délégation de la région de Portneuf que le député de Portneuf et président de la Commission des institutions, M. Roger Bertrand, a rencontré hier le ministre des Ressources naturelles, Jacques Brassard, ainsi que le ministre d’État aux Régions et ministre de l’Industrie et du Commerce, monsieur Gilles Baril, sur le dossier de l’usine Tembec à Saint-Léonard-de-Portneuf.

« J’étais accompagné, pour cette rencontre, de messieurs Denis Langlois et Alban Robitaille, respectivement maires de Saint-Léonard et de Saint-Raymond, monsieur Denis Cayer, président de la table de concertation dans le dossier de l’usine et président de la Corporation de développement de Saint-Raymond, ainsi que de représentants de l’usine et du syndicat des travailleurs de Tembec », de préciser le député Bertrand.

Tout en saluant les efforts du gouvernement pour assurer l’avenir de plusieurs usines du domaine des pâtes et papiers au Québec, notamment dans des dossiers comme Alliance-Bowater à Donnacona, Cédrico-Rexfor à Portneuf, la Gaspésia en Gaspésie ou la Wayagamac à Trois-Rivières, la délégation a demandé qu’une attention tout aussi importante soit accordée au dossier de l’usine de Tembec dans la région de Portneuf.

« L’approvisionnement en fibres de bois a notamment fait l’objet de nombreux échanges. Des questions de volume et de sécurité d’approvisionnement handicapent effectivement la possibilité d’un investissement majeur pouvant assurer l’avenir de cette usine. Nous tenons à ce que le gouvernement, de concert avec l’entreprise et le milieu, mette en œuvre tous les efforts possibles pour assurer l’avenir de l’usine, bref, qu’on accorde à ce projet autant d’importance qu’on a su le faire dans d’autres », a déclaré Roger Bertrand.

Les ministres Gilles Baril et Jacques Brassard ont assuré le député et les personnes qui l’accompagnaient qu’ils recevaient très bien les représentations de la délégation, et que la question de l’approvisionnement pourrait être examinée et réglée à condition cependant que l’entreprise donne une indication claire de son intérêt à investir. Les représentants de la table se sont engagés à travailler en ce sens dans les plus brefs délais.