« Loisirs et sports ! »





Le PQ dévoile ses investissements en matière de sport et loisir. Plus de temps pour l’éducation physique au secondaire : 30 minutes supplémentaires d’éducation physique par semaine (27M$); crédit d’impôt pour les frais liés aux activités sportives et socioculturelles des enfants de moins de 16 ans (29M$).

Infrastructures et interventions en sport et loisir

Un investissement annuel de 10M$ sur 5 ans sera partagé en parts égales entre l’État et ses partenaires. 2M$/an permettront l’embauche d’intervenants qui veilleront à la concertation entre les municipalités, écoles et association de sport et de loisir.

Accueil d’événements sportifs internationaux et développement d’infrastructures de haut niveau

Des investissements de 10M$/an pour des équipements sportifs rencontrant les standards internationaux.

Le PQ est le seul parti à proposer des mesures concrètes en matière de sport et de loisir et de lutte contre la sédentarité des jeunes. Il est aussi le seul à inculquer à tous les Québécois une véritable culture sportive dès le plus jeune âge.

Ces nouvelles mesures sont sans précédent dans l’histoire du Québec et s’ajoutent aux mesures déjà en vigueur: « Québec en forme » : 225 écoles primaires de milieux défavorisés réalisent des activités sportives parascolaires; « Ça bouge après l’école » : activités parascolaires sportives et culturelles au secondaire. Un programme tellement bien reçu qu’il sera appliqué au primaire bientôt; crédit d’impôt de 4M$ pour les athlètes du niveau «excellence», soit 4000$/an par athlète; « Équipe Québec » : 500 athlètes du niveau « excellence » recevront une bourse de 6 000$/an. 125 entraîneurs recevront une aide de 20 000$/an; les Jeux du Québec, soutenus par le gouvernement, permettent aux jeunes athlètes de catégorie « espoir » et « relève » de vivre une expérience de compétition.

Le PLQ et l’ADQ ne font aucune référence au loisir et au sport dans leur plate-forme électorale. Ils n’ont aucun plan d’action visant à inculquer une culture sportive aux Québécois. Ils n’accordent pas d’importance à la lutte contre la sédentarité des jeunes ni à l’aide aux athlètes québécois.


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